Olga, Elodie Et Philippe-12 - Dimanche Matin: La Revanche DElodie
AVERTISSEMENT
Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et Olga T, est la suite des onze chapitres parus sur HDS depuis le 14 octobre 2020.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. Dautres suivront.
Bonne lecture et merci pour vos commentaires!
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir sentraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. Létudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga nautorise pas Elodie à faire lamour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
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Elodie émergea en sursaut, au milieu dun terrible cauchemar. Son corps lavait réveillé brusquement, dans une urgence absolue, pour la sortir de lhorreur quelle vivait en rêve. Elle respira fortement tout en se redressant, comme si elle était restée trop longtemps sous leau.
Dans son cauchemar, une sublime gitane brune venait de lui arracher son téléphone portable des mains, alors quelle parlait tendrement de choses très intimes à sa douce copine. Elodie avait en quelque sorte toute sa vie dans ce smartphone.
La voleuse partait en courant, en rigolant, les poches pleines de portables volés à dautres. Une sans gêne habile qui, égoïstement, prenait aux faibles ce quils aimaient plus que tout au monde.
Elodie, après leffet de surprise, ressentit comme une grande colère de ne pouvoir rattr dans la foule celle qui s'enfuyait avec une habileté déconcertante. La gitane, brune, sexy et courtement vêtue, allait très vite, là où Elodie semblait tout faire au ralenti. La voleuse manipulatrice subjuguait la foule de son regard chaud, plein de charisme. Sous son charme, les passants semblaient se liguer contre Elodie, pour se mettre sur son chemin et ralentir sa tentative désespérée de la rattr. Le rire de la voleuse couvrait ses appels au secours.
Reprenant ses esprits et encore essoufflée de son sursaut, Elodie reconnut en Olga la méchante voleuse de son rêve. La quadragénaire croisa son regard encore enfumé, avec le même sourire enjôleur de fierté et de malice.
Elle avait la queue de Philippe entre ses lèvres et terminait sa pipe matinale et magistrale. Habile, rapide et maline, Olga commit ce qui pour Elodie était une sale trahison, avalant tout le sperme qui jaillissait de la queue par spasmes, sans rien partager, sous le regard en détresse dElodie.
- Désolée Princesse, Philippe est à MOI et je nai plus envie de le partager !
Philippe, yeux fermés, semblait totalement passif, sans émotion, comme si cette pipe habituelle, mécanique, nétait quune habitude journalière, comme un café rapide ou un journal du matin juste parcouru en diagonale.
Pour Elodie, son rêve prémonitoire, son instinct, son sixième sens, tout lavait prévenu que cette voleuse lui prenait ce qui, considérait-elle, lui revenait de droit. Elodie ne prétendait pas séparer Philippe et Olga. Elle avait seulement envie de faire lamour avec cet homme et estimait quelle méritait cette reconnaissance.
Olga lui avait promis son mari, mais Elodie ne voyait toujours rien venir. Et voilà quelle venait en quelque sorte de lui claquer la porte au nez, en lui annonçant quelle ne partagerait plus Philippe avec elle. Lhypersexualité dOlga ne pouvait servir dexcuse facile pour un comportement aussi égoïste.
Elodie sortit de ses gonds car elle se considérait victime dune injustice quelle ne pouvait plus supporter ni accepter. Cen était trop pour elle et les limites venaient dêtre franchies. Elle devait faire autre chose de sa vie que toujours se laisser faire et écraser par les autres. Cela navait plus de sens. Elle devait reprendre le contrôle et ne plus se faire bouffer. Cest de la rage quElodie ressentit, une envie de vengeance agressive. Ses larmes étaient celles dune jeune fille violée, voulant exercer des représailles cuisantes sur qui avait abusé delle.
Ni une ni deux, Elodie se précipita dans la salle de bain et sy enferma à double tour, comme pour sy barricader. Elle ouvrit brutalement le placard où se trouvait le peignoir des amants de passage. Elle avait bien vu quOlga rangeait ici de nombreux sex toys. Même si chaque fois Olga refermait rapidement tout, pour ne pas dévoiler son contenu, Elodie avait reconnu des godes ceintures.
Sans hésiter, elle choisit le plus monstrueux et lenfila au plus vite, sachant pourtant que la vengeance est un plat qui se mange froid. Quimporte, battre le fer tant quil est chaud valait aussi bien que lautre expression populaire. Elodie séquipa dans un temps record, serrant bien les boucles pour que tout soit parfaitement ajusté et ne bouge pas dans laction qui sannonçait.
Elodie ouvrit la porte de la chambre à grand bruit, avec violence. Olga embrassait son mari dans le lit, lui caressant le sexe qui se remettait déjà au garde à vous, comme si elle avait lintention de lui faire une seconde fellation, histoire de bien le revider à nouveau. Olga linterrogea:
- Mais que fais-tu, petite salope?
Ni une ni deux, Elodie sauta sur le lit et se mit à califourchon sur Olga.
Philippe sextraya du lit avec lélégance, la finesse et la discrétion qui le caractérisaient. Cette étudiante était décidément bien surprenante. Elle sétait harnachée de ce gode ceinture monstrueux en un temps record. Quand elle avait ouvert la porte, Philippe lavait trouvé sublime, cette queue plastique énorme et dressée entre ses frêles cuisses. Mais comment cette gamine avait-elle su séquiper aussi vite dune tenue aussi technique que celle ci? Philippe ne pensait quà une chose, rejoindre son fauteuil de candauliste, Le spectacle prenait une tournure inédite, pleine de promesses. Cette gamine nen finissait pas de létonner.
Dans la folie du moment, Elodie prit le cou dOlga avec ses deux mains, comme pour l.
- Tu va voir ce que tu va te prendre, espèce de putain. Tu vas recevoir ce que tu mérites, hypersexuelle de merde. Espèce de gitane voleuse et menteuse!
Elodie avait prononcé une bien longue phrase pour elle qui ne disait jamais grand chose. Cela ne lui ressemblait absolument pas. Elodie venait dinsulter Olga et, avec elle, les nombreuses personnes qui avaient abusé delle. A force de thérapie, la timide était devenue comme une jeune fille hystérique, qui voulait ses urs de toute sorte. Létudiante effacée sétait transformée en furie vengeresse.
- Mais que fais tu chaton?
Olga nen revenait pas et essayait de lamadouer.
- Prends ça catin! Tu ne comprends et ne respectes que les coups de queue qui te défoncent. Si tu aimes la force, je vais ten donner, grosse chienne !
- Non, Elodie, cest un gode que jai acheté pour étonner Agun. Il na jamais servi. Nooon je ten prie, tu vas me faire mal!
Les protestations de sa victime napaisaient pas Elodie, bien au contraire. Elle était bien au fond du vagin dOlga et commença à la pilonner.
- Prends cela, grosse cochonne de merde, tu ne mérites que cela. Et ne me fais pas croire à moi que tu tes jamais enfilée ce gode toute seule sous ta douche
Elodie avait une analyse fine car Olga navait pas pu résister à tester lengin. Mais personne ne lavait baisée avec. Cette taille dépassait en longueur et en largeur tout ce quelle sétait pris dans sa chatte dans son parcours dhypersexuelle. Cette petite qui, la veille, lui semblait si timide, était en train de lui faire ce quaucun mâle ne lui avait jamais fait. Même pas le concierge hyper bien monté de leur immeuble qui lavait prise de force dans le parking de leur immeuble, quinze ans auparavant.
- Miaule comme la chienne que tu es, je sais que tu vas prendre ton pied, pouffiasse!
Elodie dominait Olga comme aucune femme ne lavait fait, elle la pilonnait avec ce gode gigantesque, au risque de la déchirer et de la blesser, chaque coup senfonçant au plus profond de son vagin. Les larmes coulaient sur le visage dOlga, dautant quElodie lui labourait le dos avec ses ongles et lui pinçait fortement ses tétons.
- Fais pas ta minaude, grosse pute, tu adores jen suis sûre !
Olga suppliait Elodie dy aller plus doucement, mais la jeune étudiante ne ralentissait pas la cadence, bien au contraire :
- Je ne te crois pas, espèce de menteuse, bien sûr que tu prends ton pied, grosse catin. Tu ne comprends que la défonce sauvage!
Il se passa alors une chose incroyable. Le visage dOlga, qui exprimait la souffrance et la peur, commença à montrer autre chose. Philippe s'apprêtait à intervenir car il craignait que Olga ne soit blessée, mais il comprit quelle commençait à prendre son pied.
Certes, il y a avait toujours des gémissements, des cris, des hurlements, mais ils nétaient plus de douleur et de crainte, mais de jouissance. Olga se mit à enchaîner une formidable série dorgasmes, de plus en plus violents:
- Oh Elodie, vas-y!!!!
Elodie sen donnait à cur joie.
- Mets la moi bien au fond...
Installé sur son fauteuil de candauliste pour le spectacle le plus hard auquel il navait jamais assisté, Philippe se mit à encourager Elodie:
- Baise-la, ma petite Princesse. Vas-y, fais la jouir encore et encore!
Olga supplia Elodie de la prendre en levrette, après quelle se soit mise à quatre pattes:
- Oh Elodie, ma chérie, je suis à toi, fais de moi tout ce que tu veux!
La gamine mettait des coups de hanches incroyables.
- Plus fort!!!!!
Comment un aussi petit corps pouvait-il être si vigoureux?
- Démonte-moi...
Les sangles du gode ceinture parfaitement ajustées, tenaient le choc
- Défonce-moi !!!
Elodie se déchainait, accompagnant ses coups de boutoir dinjures, où elle traitait Olga de voleuse et de tous les noms doiseaux. Le corps dOlga porterait un moment les marques des dents et des ongles dElodie. Après tout, Olga ne lui avait-elle pas marqué son cou de suçons?
Lultime orgasme dOlga fut dune grande violence. Un feulement, un long cri, une longue plainte qui navaient pas dû manquer dinterpeller les voisins, pourtant habitués aux frasques de ce couple.
Puis Olga seffondra sur le lit, brisée par un plaisir qui avait été accompagné dun bref instant où elle avait perdu connaissance. Olga réalisa à ce moment quun plaisir aussi fort pouvait celui ou celle qui en était la proie.
Quand elle reprit ses esprits, Olga, après cette scène de coit animal et brutal, aurait voulu un moment de tendresse. Ce quelle vit lui confirma que les rapports de forces dans le trio avaient radicalement changé.
Elodie était assise sur les genoux de Philippe, le gode énorme entre ses petites cuisses. Elle embrassait son mari avec une douceur infinie, sa peau couverte de chair de poule, ses petits tétons comme électrisés. Cétait touchant de fragilité, les émotions dElodie étaient à fleur de peau. La petite ne voulait quun tendre baiser de Philippe et ses bras pour la protéger.
- Cest MON mari, petite salope!
- Oh oui, je suis bien une petite salope et je l'assume.
Elodie était bien décidée à ne pas donner la moindre chance à Olga de renverser la situation. Philippe caressait le gode monstrueux et encore chaud qui avait pris son épouse. Il lui parut tout aussi large quun poignet de fist. Elodie entendait bien affirmer que cétait elle désormais qui imposait le tempo. Elle nen navait pas fini avec Olga.
- Tu crois que tu peux minterdire de passer un moment avec Philippe, comme tu m'avais promis? Espèce de menteuse !
Elodie, aux yeux bleus perçants, repartit dans les tours et sauta dans le lit. Elle enfila ses doigts dans la chatte encore écartelée dOlga, avant dy enfoncer son petit poignet. Elodie avait déjà fisté Olga un jour plus tôt.
- Regarde moi comme tu es pathétique? Toute trempée et insensible à mon fist. Mon poignet est trop petit par rapport aux bites que tu aimes te prendre. Retourne toi, cochonne, et mets toi à quatre pattes comme tu aimes.
Elodie fit basculer Olga sans ménagement et lui inséra un de ses petits doigts dans le cul.
- Ta mouille a glissé jusque dans ton anus de chienne.Tu es toute trempée du cul!.
Olga ne savait pas quoi répondre à cette vérité. Pour une fois son caquet était coupé. Deux, puis trois petits doigts écartèrent les chairs de son anus, déclenchant des soupirs denvie manifeste.
- Ton cul est plus serré que ta chatte mais cest mon poignet que tu vas prendre. Je vais te casser le cul!
Olga était certes habituée à la sodomie mais à ce moment-là, une tension extrême lanimait.
- Elodie, non, je nai jamais fait ça!
- Tu ten es déjà tellement pris, garce, que ça ne doit pas poser de problème!
Olga était en position de levrette et Elodie avait mis son pouce dans son intimité rectale et la pénétrait. Son cul tendu, Olga écarta ses fesses avec les mains, quémandant la sodomie, son illet entrouvert, accueillante. Elle se cambra en cherchant de lair.
Philippe était inquiet :
- Princesse, doucement sil te plait. Tu vas la blesser. Cest trop.
- Laisse-moi faire ! Je sais ce quil faut à cette chaudasse, égoïste et menteuse !
- Oui Elodie prends-moi!
Elodie adressa un regard à Philippe, lui signifiant « je te lavais dit ».
Elle lui enfila deux doigts, puis trois, puis quatre.
- Oui, continue !
Au bout dun moment, Elodie se retrouva avec la main complètement enfoncée dans le cul de la belle hypersexuelle.
Philippe était stupéfait. Il savait que sa femme aimait être dilatée, mais pensait que cette pratique extrême nétait possible que pour sa chatte, pas pour son anus. Et pourtant le poignet fin dElodie était parvenue à ce que voulait la jeune fille, cette dilatation extrême qui achevait de marquer sa domination sur cette femme qui sabandonnait ainsi totalement à elle. Elodie était fière de sa révolte et de sa domination sur Olga..
- Uuuuch, putain que cest gros, haaa, arrête, non narrête pas, haaa.
- Pousse, pousse encore, salope, ça va te détendre lanneau.
- Ouiii, je pousse, tu as tout rentré là ?
- Presque !
Seule une fisteuse expérimentée, avec de très petites mains comme Elodie, pouvait se permettre ce genre de délires. Olga, comme Philippe, comprenaient quElodie nétait pas celle quils avaient imaginée lors de leur rencontre.
Pour accompagner la jouissance anale quelle sentait monter, Olga se branlait le clito, ses doigts fouillant sa chatte. Cétait en quelque sorte pour elle une double pénétration.
- Oh Elodie, cest si fort, Tu me tues! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
Lorgasme fut encore plus violent quavec le monstrueux gode ceinture. Elodie retira sa main, lanus dOlga resta un moment béant. Gémissante, brisée par le violent plaisir qu'elle venait de connaître et qui laissait son intimité particulièrement douloureuse.
***
Brisée par ce quelle avait subie, Olga sétait endormie sur place. Quand elle se réveilla la maison était sans bruit et la chambre était vide. Olga ressentit une douleur lancinante au plus profond de son sexe et de son cul. Le gode ceinture énorme était posé au pied du lit. Olga frissonna rien quen le voyant, se rappelant la scène bien étrange vécue ce matin même.
Sans bruit, nue, Olga partit à la recherche de Philippe et dElodie, marchant jambes écartées comme une putain qui venait de se faire sodomiser par un fist endiablée. La grande pendule du salon marquait 11h00. Olga ne savait même pas à quelle heure elle sétait réveillée ce matin.
Elle trouva le petit couple endormi, lun dans les bras de lautre, sur le canapé du salon, au chaud sous le grand plaid épais. Elodie suçait son pouce comme un bébé. La scène était attendrissante, mais Olga ne savait pas si quelque chose sétait passé entre eux ou pas. Avaient-ils fait lamour? Au fond la petite laurait bien mérité, depuis le temps quelle attendait cela.
Les émotions dOlga étaient étranges. Dabord ce sentiment de fierté davoir vu cette gamine enfin grandir pour affronter sa grande timidité. Elle sétait vengée sur elle de plein de choses de son passé qui devaient être lourdes à porter. Ce nétait évidemment pas la petite pipe matinale à son mari qui avait mis Elodie dans un tel état. Olga navait fait que craquer une allumette et tout sétait embrasé. Des choses qui devaient sortir étaient sorties. Létudiante avait lair tellement apaisée dans les bras de son homme.
Philippe, endormi, était si beau et rayonnant de protéger cette gamine dans ses bras. Comment ne pas être sensible à ce tableau touchant? Il ressemblait un peu au papa dOlga et elle se revoyait petite dans ses bras. Olga en eut les larmes aux yeux, beaucoup de souvenirs douloureux lui revenaient à lesprit.
Lhypersexuelle Olga, en 48 heures, avait abusé de son manque de sexe et bien tiré la couverture à elle, avec un certain égoïsme. Elle devait en convenir. Malgré ce quelle lui avait infligé, Olga nen voulait pas à Elodie, pour qui elle avait une grande tendresse. Ces heures passées avec Elodie avaient été pour elle également une expérience incroyable. Cest une femme troublée et repue de sexe qui gagna la salle de bains, jambes écartées, imaginant le bon bain réparateur dans lequel elle allait se plonger. Elodie avait bien gagné le droit de profiter un peu de son mari, ce nétait que justice, même si cela coûtait beaucoup à Olga.
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